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Azzecca inaugure son nouveau label Cosimea Sounds avec un single nommé « AL’S HOT SOUP »



Les productions énergiques d’Azzecca, qui brouillent les frontières entre la house, la techno, la trance et les sons prog du début des années 2000 dont elle s’inspire, sont le moteur de ses sets, de ses séries d’événements et désormais du label Cosimea, qu’elle décrit comme « une exploration des sons club d’un autre monde ». Avec la communauté au cœur de ses préoccupations, une esthétique ludique mêlant chats et extraterrestres, et un premier morceau faisant allusion à ses célèbres soupes maison, ce label est sans conteste l’œuvre d’Azzecca.

 
Concernant ses soirées et son label éponyme, Azzecca a expliqué :
 
 

« Cosimea a commencé comme un projet événementiel visant à créer une communauté et à recentrer l’attention sur le dancefloor. La construction de ce « monde » cosmique et la liberté de jouer une musique hors des sentiers battus ont entraîné un changement évident dans mon processus de production et mes projets finis. Je savais que je devais créer une plateforme pour diffuser les sons dont je suis vraiment fière, sans la pression de devoir m’adapter au paysage actuel des labels. J’ai hâte d’utiliser ce label pour mettre en avant d’autres artistes et des sons qui sortent des sentiers battus et me touchent.»

 
 
Le morceau « AL’S HOT SOUP » propose des rythmes rapides et affirmés, des basses et des percussions entraînent les ravers vers la piste de danse, tandis qu’un thème synthétique staccato, des montées spatiales et des effets Doppler, ainsi que des ululations et des cris féminins sans paroles, créent un paysage sonore futuriste, peut-être extraterrestre, avec néanmoins des oasis de chaleur reconnaissables.



À propos d’Azzecca :

© Azzecca

 
Azzecca, DJ/productrice de Chicago et organisatrice des fêtes COSIMEA, apporte une grande énergie à la techno, à la house, à la dark dance et aux nouveaux sons « cosmiques » : « J’aime la juxtaposition entre l’euphorie et l’obscurité ». Lancée par son « Other Side », diffusé à plus de 13 millions d’exemplaires, elle se produit désormais à Coachella, Movement Detroit, ARC Chicago, Audioriver Festival (Pologne), Portola, Ritvales Festival (Colombie), EDC Vegas, Radio 1 Ibiza, Printworks, fabric, Rise Festival, The Warehouse Project, et donne des concerts en tête d’affiche à guichets fermés, notamment à Elsewhere Brooklyn, au Sound LA et à l’Université d’Amsterdam. Elsewhere Brooklyn, Sound LA (x2), It’ll Do Dallas (x2).
 
Elle a sorti des pépites comme « Who’s That Girl », « Ego Death » et autres, via Ninja Tune’s Foreign Family Collective, Kompakt, Maccabi House, DGTL, REALM, Higher Ground, Another Rhythm, Pop Tomorrow… En juillet 2024, elle a lancé sa nouvelle série d’événements COSIMEA, « une exploration ouverte des sons de clubs avant-gardistes et d’un autre monde », pour mettre en lumière les talents émergents et les vibrations ‘cosmiques’ légèrement à gauche, dans un espace inclusif où toutes les communautés se sentent sûres de pouvoir faire la fête.
 
Les points forts de sa première année de carrière : Une fois stimulée par son titre de plus de 13 millions de streams, en seulement un an, Azzecca : a été élue artiste Radar du mois par Beatport ; a été diffusée sur Radio 1 par Pete Tong (+ mix de 30 minutes), Sarah Story, Danny Howard (+ Mini Mix), Jack Saunders (Next Wave slot), Arielle Free ; a participé à des festivals d’été tels que HARD Summer, Neon Garden @ EDC Vegas, Electric Forest, a été la tête d’affiche de Stereo Montreal, Halcyon SF… Tout en sortant sur Maccabi House d’Adam Ten et REALM de Gorgon City, elle a livré un remix brûlant de « Still Rushing » de TIBASKO ; elle a créé sa série d’événements axés sur la sécurité des femmes, initialement baptisée Dirty Disco.
 
Les productions d’Azzecca, qui modifient les genres, sont parfaites pour les systèmes son de clubs.
 
À propos de son style, Azzecca a expliqué :
 
 

« Mon son est toujours sombre et sexy, mais j’expérimente différents genres et vibrations. Mes sets sont dynamiques, j’aime surprendre le public. Je commence mes propres morceaux par une ligne de basse, un lead ou un échantillon vocal, et j’aime utiliser des arpèges funky. Mes goûts musicaux variés me donnent une polyvalence extrême en tant que DJ/producteur, résultant d’influences précoces telles que les éléments durs mais émotionnels de l’électro-rock. »

 
 
Premières influences/musique : Azzecca aka Allie DeCastris cite Massive Attack, Portishead, Nightmares on Wax, Little Dragon, Bjork, Pink Floyd… « J’ai toujours été très attirée par les sons électro-rock de Bristol ». Née dans une famille de musiciens et assistant à des concerts de rock dès son plus jeune âge, elle a grandi en jouant de la flûte, du piano basse et du piano. Elle a commencé à faire du DJing et de la production comme passe-temps, jusqu’à ce que la remise en question forcée de la pandémie de 2020 lui permette de faire du DJing pour de petites soirées qui ont attiré l’attention de promoteurs, tandis que Higher Ground sortait son premier single et son premier EP, et qu’elle lançait sa première série d’événements « Dirty Disco » à Chicago, pour créer des espaces où les femmes pouvaient s’amuser sans attirer l’attention de manière inopportune.
 
Alors que sa carrière monte en flèche, Azzecca a pour objectif de conquérir de nouveaux territoires, de repousser les limites musicales et de faire tourner COSIMEA pour continuer à donner une plateforme aux artistes underground émergents qu’elle aime.


Commander/streamer le single « AL’S HOT SOUP » d’Azzecca via Cosimea Sounds

 

 
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