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Paul Kalkbrenner dévoile son nouvel album après 7 ans, THE ESSENCE, avec un dernier extrait nommé « CRONITIS BOY’, via Sony Music / B1



Le légendaire artiste allemand Paul Kalkbrenner revient avec son nouvel album depuis sept ans, THE ESSENCE, via Sony Music / B1. C’est un album qui sert d’archive des états d’âme personnels. Créé au fil de plusieurs années, en partie en studio, en partie dans un appartement berlinois à mi-chemin entre le style moderne du milieu du siècle et le luxe des années 70, avec de véritables ampoules en tungstène, des téléviseurs vintage, des palmiers et un mélange de pierre, de bois et de fourrure. THE ESSENCE est le premier album de Paul Kalkbrenner depuis Parts of Life en 2018, mais aussi l’œuvre la plus dépouillée, la plus organique et la plus personnelle de sa carrière.

 
À propos de cet album, Paul Kalkbrenner a expliqué :
 
 

« Beaucoup de tracks ont été composées à une époque où je n’avais pas du tout l’intention de sortir un album. J’avais en fait fini de faire des albums, mais je me suis rendu compte à quel point c’était agréable d’avoir quelque chose qui reliait tout à nouveau. » Un lien qui ne repose pas sur un concept, mais sur une attitude. Car THE ESSENCE évite les grands gestes et regorge plutôt de précision musicale, de sons patinés et de mélodies issues d’anciens brouillons qui n’avaient jamais été publiés jusqu’à présent. Certaines des choses qui se trouvent ici ne me viendraient même pas à l’esprit aujourd’hui, car elles sont tellement brutes. Mais c’est exactement ce qui fait leur force. »

 
 
Une grande partie a été créée dans l’appartement, que l’on pourrait presque qualifier de coauteur de l’album. Un lieu qui ressemble davantage à un laboratoire de son analogique qu’à un studio de production moderne. « Je ne voulais pas de néons, pas d’écrans, pas de surcharge technologique », a expliqué Kalkbrenner. À la place : une lumière tamisée, des meubles vintage, des tissus confortables et des tonnes d’histoire de la musique sous forme d’instruments, d’objets de collection et de sources sonores. « Je restais assis là pendant des heures, à bricoler, sans plan précis, mais avec une intuition. » L’atmosphère de l’appartement se retrouve clairement dans les morceaux : chaleureuse, complexe et singulière.
 
Paul Kalkbrenner a présenté l’album en juillet 2025 avec un premier extrait qu’est le single « NINETY – TWO », un morceau qui ressemble à un souvenir perdu : 130 BPM, un groove hypnotique, un échantillon vocal tiré de la conscience collective rave. Avant même sa sortie officielle, le morceau était déjà devenu un favori des fans lors des festivals et dans les clubs, tout comme le deuxième single, « QUE CE SOIT CLAIR ». Une collaboration avec Stromae, dont les racines remontent à loin. En 2009, Kalkbrenner avait créé un remix du single « Te Quiero » de Stromae.
 
Aujourd’hui, ils se retrouvent sur un pied d’égalité, comme de vieux amis qui ne se sont jamais perdus de vue. « QUE CE SOIT CLAIR » est l’un des morceaux les plus directs de l’album : des kicks puissants, des synthés pulsés, associés à la voix intense de Stromae. Le titre signifie « QUE CE SOIT CLAIR », et c’est exactement de cela qu’il s’agit. Un amour qui ne connaît pas de frontières. Pas de nations, pas d’origines, pas de catégories. Ce qui compte, c’est le lien entre deux personnes.
 
Musicalement, THE ESSENCE est aussi varié que cohérent sur le plan atmosphérique. « DREAMING ON », par exemple, dégage une ambiance très années 80, portée par une ligne de basse pulsée et une boucle stoïque qui vous invite à continuer de rêver, quoi qu’il arrive. « DER SCHLÖRHEINZ », en revanche, jaillit des haut-parleurs avec une énergie sauvage, brute, directe, presque provocante.
 
« CRONITIS BOY » vibre de rythmes merveilleusement chauds et riches et de sons de cordes subtils qui percent comme des rayons de soleil à travers un ciel nuageux. Chaque chanson de THE ESSENCE révèle une facette différente sans perdre le fil conducteur : la recherche de la clarté, de la profondeur et d’un son complet en soi. Le titre « THE ESSENCE » pourrait suggérer une réduction, mais il signifie autre chose.
 
Concernant le titre principal, Kalkbrenner a déclaré :
 
 

« Il s’agit de l’essentiel. C’est un album que je peux pleinement soutenir. Je le considère comme mon meilleur. Il y a peut-être des tubes plus connus sur les autres albums, mais il y a toujours deux ou trois morceaux de remplissage. Celui-ci n’en contient aucun. Pas même un seul moment de remplissage. »

 
 
Paul Kalkbrenner a eu une carrière comme presque personne d’autre. Un talent de la techno qui s’est hissé en deux décennies de l’underground au sommet des charts, a joué dans un film culte, a fait la une des festivals et a captivé des millions de fans, tout cela sans compromettre son son unique.



À propos de Paul Kalkbrenner :

 

© Svenja Ava

 
Né en 1977 et élevé au milieu de la première vague de la culture rave des années 90, il a commencé à produire de la musique très tôt et a toujours préféré jouer en live plutôt que de mixer. Au moment de la sortie de Berlin Calling et du single « Sky & Sand », il était déjà devenu une icône : un artiste unique, à cheval entre la culture club, le cinéma et la scène principale, qui ne se laissait jamais influencer par les tendances.
 
Huit albums, des tournées à guichets fermés, des têtes d’affiche à Tomorrowland et une invitation du gouvernement allemand à se produire devant 400 000 personnes lors de l’anniversaire du mur de Berlin. Paul Kalkbrenner n’a pas seulement façonné la musique électronique, il en a redéfini les limites.


Pré-commander l’album The Essence de Paul Kalkbrenner, via B1 / SONY MUSIC

 

 
Tracklist du LP THE ESSENCE:
01. Paul Kalkbrenner – « NINETY – TWO »
02. Paul Kalkbrenner – « DIE STÜBERNITZE »
03. Paul Kalkbrenner – « DREAMING ON »
04. Paul Kalkbrenner – « CODY 3000 »
05. Paul Kalkbrenner – « KLETTERMAXE »
06. Paul Kalkbrenner – « DER SCHLÖRHEINZ »
07. Paul Kalkbrenner – « SPIGITO BITE »
08. Paul Kalkbrenner – « QUE CE SOIT CLAIR »
09. Paul Kalkbrenner – « MEIN FREUND ONZE »
10. Paul Kalkbrenner – « CRONITIS BOY »
11. Paul Kalkbrenner – « WONDERFUL LIFE »
12. Paul Kalkbrenner – « DIE TROMPETEN VON BERLIN »
 
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