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Stephan Hinz sort deux remixes du morceau original de Martin Eyerer & Namito, « Can’t Stop Me Feat. Emil Rømer », via Embassy One



Après la sortie de leur single « Can’t Stop Me Feat. Emil Rømer » en juin 2024, le duo berlinois de musique électronique Martin Eyerer et Namito sont de retour avec un EP de remixes très attendu, comprenant deux éditions puissantes du formidable Stephan Hinz. Sorti via Embassy One, cet EP de remixes insuffle une nouvelle vie à l’original, l’amenant à de nouveaux sommets exaltants.

 
Le titre original, fruit d’une collaboration entre deux des producteurs berlinois les plus respectés, Martin Eyerer et Namito, a déjà fait des vagues dans la communauté de la musique électronique. Avec ses grooves riches en basses et sa sophistication mélodique, « Can’t Stop Me » a mis en évidence la capacité inégalée du duo à mélanger leurs styles uniques dans une expérience de musique house sans faille. L’ajout de la voix émotive d’Emil Rømer a fourni un contrepoint parfait aux couches complexes de la production, donnant lieu à un morceau qui a trouvé un écho profond auprès des fans et des DJs.
 
Avec la sortie de ce nouvel EP de remixes, Stephan Hinz prend la barre pour livrer deux réinterprétations distinctes de « Can’t Stop Me ». Connu pour sa maîtrise tant en studio que derrière la cabine de DJ, les remixes de Stephan Hinz ajoutent une nouvelle dimension au titre original, amplifiant son intensité tout en préservant son caractère émotif.
 
Le premier remix de Stephan Hinz insuffle à l’original une pulsation techno entraînante, apportant une perspective fraîche et dépouillée à son homologue plus décontracté. La signature sonore de Hinz – caractérisée par des percussions complexes, des synthés hypnotiques et une ligne de basse profonde et palpitante – transforme « Can’t Stop Me » en une arme grinçante qui devrait enflammer les pistes de danse du monde entier.
 
Au verso, le remix « Super VHS » de Hinz offre une perspective différente, avec une touche nostalgique qui renvoie à la chaleur analogique des années 80. Ce second remix est une exploration créative des sons, mêlant des textures luxuriantes et cinématiques à une techno percussive moderne, ce qui en fait une expérience d’écoute résolument cool. Le résultat est un remix qui ne rend pas seulement hommage au passé, mais qui repousse également les limites de la musique électronique contemporaine.
 
Stephan Hinz, dont l’ascension a été marquée par le succès de son tube techno ‘Doch’ en 2014 sur le label Second State de Pan-Pot, a continué à évoluer en tant qu’artiste, gagnant le respect pour ses performances live dynamiques et son travail de studio innovant. Ses sorties sur des labels renommés tels que Drumcode, MOOD et Intec ont consolidé sa réputation de producteur techno parmi les plus avant-gardistes. Ce dernier EP de remixes souligne la capacité de Hinz à réinterpréter et à élever des morceaux existants, en se les appropriant tout en restant fidèle à l’essence de l’original. Avec ces deux remixes, Hinz ajoute un nouveau chapitre impressionnant à sa discographie déjà brillante et confirme son statut de figure de proue de la scène techno mondiale.


À propos de Martin Eyerer :

 

© Martin Eyerer

 
Véritable icône de la scène électronique, Martin Eyerer s’est fait un nom non seulement grâce à ses DJsets, mais aussi avec plus de 250 titres à son actif. Reconnu et respecté dans le monde entier, Eyerer a fondé Riverside Studios, studio de musique et complexe créatif parmi les plus influents. Son esprit visionnaire se manifeste également à travers le label Kling Klong, qu’il a lancé en 2007. Avec plus de 150 sorties à ce jour, ce label est devenu une référence en matière de qualité et d’innovation sonore.
 

À propos de Namito :

 

© Ali Khalaj

 
En tant que DJ et producteur, Namito apporte une touche spéciale en mêlant différentes influences. De ses débuts à Téhéran jusqu’à sa renommée internationale actuelle, il fusionne la musique house occidentale avec des voix iraniennes, créant ainsi une musique qui parle à tous. On le retrouve sur des labels prestigieux tels que Kompakt, Bedrock et son propre label, Ubersee Music.
 

À propos de Stephan Hinz :

 

© Stephan Hinz

 
Après avoir explosé sur la scène avec ‘Doch’, sans doute l’un des meilleurs slammers techno de 2014, sur l’imprint Second State de Pan-Pot, la carrière du berlinois Stephan Hinz a connu une ascension stratosphérique. Artiste live talentueux, Hinz est un maître des commandes et un raconteur orchestral du plus haut niveau. Ses sets live proposent des morceaux originaux explosifs, laissant les ravers en sueur dans des clubs bondés se demander ce qui vient de se passer.
 
L’année 2016 a été encore plus fructueuse, avec des premiers EP sur des labels de référence tels que MOOD de Nicole Moudaber et Intec de Carl Cox (ce dernier faisant suite à une collaboration avec Philipp Ruhmhardt en 2015), ainsi que d’autres nouveaux morceaux sur Second State, notamment le techno stomper « Venom ». Ces réalisations s’ajoutent à un catalogue impressionnant de labels tels que Drumcode d’Adam Beyer.
 
Le professionnalisme de Hinz, tant en studio que sur le dancefloor, l’ont propulsé du statut de favori des DJs à celui de choix des clubbers avertis ; en conséquence, il a obtenu des réservations impressionnantes dans le monde entier avec des promoteurs estimés tels que Awakenings, London Warehouse Events, LEAF London et HYTE, ainsi que des réservations dans des clubs de premier plan tels que Gashouder à Amsterdam, Amnesia à Ibiza, Kristal Glam en Roumanie, Watergate et Baum en Colombie.
 
Si les années 2015 et 2026 ont été déterminantes pour le succès et la réputation du jeune producteur, sa contribution à la musique électronique a toujours été variée ; après tout, il s’agit d’un artiste dont l’amour pour la musique classique et orchestrale l’a amené à postuler pour un stage auprès de Hans Zimmer. Il anime l’éminente émission de radio « DASDING Plattenleger » depuis maintenant dix-huit ans et compose de la musique pour le cinéma et la télévision, notamment pour le prochain film « 2Close2u » qui sera présenté en avant-première au Festival du film indépendant du Canada en février 2017.


Commander/streamer le single « Can’t Stop Me Feat. Emil Rømer » de Martin Eyerer & Namito (Stephan Hinz Remix) via Embassy One

 

 
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