L’iconique DJ et producteur Solomun remixe Radio Slave ‘The Lunatics’ sur Rekids, suite à l’inclusion de l’original dans l’album acclamé de Matt Edwards Venti en mai 2024. L’original, lui-même retravaillé, réimaginait le titre « The Lunatics Have Taken Over The Asylum » de Fun Boy Three, sorti en 1981. L’ode d’Edwards au défunt chanteur du groupe et frontman de The Specials, Terry Hall, a reçu le soutien de Saoirse, Erol Alkan, Jennifer Cardini, Laurent Garnier, Paul Woolford, et Honey Dijon.
Le remix de Solomun de « The Lunatics » est une nostalgie auditive étincelante exécutée avec un plaisir total. Une batterie croustillante des années 80’s, des synthés Jupiter 8 à la Stranger Things, la voix vocodée du titre et une ligne de basse glissante et riche se combinent pour ramener l’auditeur en 1983 de la meilleure façon qui soit.
Au fur et à mesure que le morceau prend de l’ampleur, des guitares entraînantes se joignent à l’ensemble, complétant ce qui est un voyage hypnotique et mélodique dans des eighties à travers ce qui est destiné à être un hymne de 2024.
À propos de Radio Slave :
Radio Slave, alias Matt Edwards, est l’un des poids lourds incontestés de la dance music. Après s’être fait un nom en tant que DJ dans les années 90, il est devenu le roi des edits, transformant des morceaux pop, R&B et indie en versions essentielles qui enflamment systématiquement les clubs. Depuis le milieu des années 2000, les compositions originales d’Edwards ont contribué à définir la musique de danse moderne, s’attaquant à la techno, à la house, au breakbeat, à la minimal et au disco, tout en explorant le dub, les sons baléariques et l’ambient à travers une myriade d’autres alias et projets.
À propos de Solomun:
Pour Solomun, de son vrai nom Mladen Solomun, la musique ne serait pas seulement un outil pour faire danser les gens. La musique serait aussi diverse que la vie elle-même : de nombreuses nuances, des moments et des souvenirs à créer. La musique déclenche des émotions et vice-versa, et cette sorte d’interrelation – Solomun représentant la musique et les émotions du public – est ce qui jette un sort autour de ses performances.
Sa résidence « Solomun +1 » au Pacha Ibiza a commencé de manière assez décontractée : il a fait ce qu’il voulait, déplacé la cabine du DJ au centre du club pour être proche des gens sur la piste de danse au lieu du podium habituel, et introduit un concept assez inédit sur l’île : une nuit en compagnie d’un seul ami. Depuis son lancement en 2013, « Solomun +1 » est devenu un nom familier à Ibiza, avec sa déclinaison « Solomun +LIVE » sur l’île et des éditions +1 dans le monde entier, que ce soit à Berlin, à New York ou à Tulum.
C’est cette même énergie qui a donné le coup d’envoi de son label musical Diynamic en 2006 : Un groupe de frères partageant les mêmes idées, les mêmes goûts musicaux et la même volonté de s’entraider. Avec le recul, Diynamic s’est avéré être le tremplin de la carrière de nombreux artistes. Tout cela a commencé à un niveau modeste, mais c’est en restant lui-même, en étant un artiste honnête au sens propre du terme, et non un personnage de scène, que Solomun est devenu si incroyablement recherché.
Il a prouvé que la musique est plus importante que l’endroit où elle est jouée, car ses sets, remixes et productions rassemblent les gens. Et il envoie toujours le même message : « Nobobody is not loved ».
Commander/streamer le single « ### » de Radio Slave (Solomon Remix) via Rekids
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